BOUM
Ah non ce n'est pas mon coeur qui fait boum.
Enfin après ces deux semaines de survoltage il se trouve qu'au lieu d'être au festival des Inrocks j'ai ouïe dire par ma babysitter attitrée "pas possible finalement"...
Du coup je suis comme vous je vis le festival chez Garance, Géraldine, et Yvan...
Le matin je trépigne en allumant mon mac.
Heureusement ce n'est pas non plus le ratage total.
J'y serais demain pour voir Elvis Perkins vite fait et surtout j'y serais lundi pour voir Devendra Banhart, Beirut, Andrew Bird, Remi Nicole...
J'espere aussi voir Ersatz qui me fait beaucoup rire avec son blog Le Plaisir de Mentir.
En attendant il se trouve que je n'éprouve aucune nécessité d'écrire un billet, je n'ai rien à raconter, après toute cette activité intense...
Ma garde-robe ne me passionne pas, je ne me lancerais pas dans un débat vernilistique, je ne soupire plus après une expédition chez new look, j'ai besoin d'autre chose (du vanessa bruno ? du miu miu ? c'est peut-être ça... )
Et si je savais quoi bon sang de bonsoir je ne serais pas là en train de me questionner !
Pour changer de sujet je vais vous parler de Beirut, le groupe de Zach Condon.
Mon pote Julien me dit "je comprends pas pourquoi toutes les filles aiment Beirut ?"
J'ai dit "mais t'as vu sa photo ?"
Trêve de réflexions girly, Zach Condon a donc 22 ans, il vient de Sante Fe, a publié son premier album à 19 ans...
Comme je ne vais pas me lancer dans de grandes analyses musicales je reprends volontiers ces quelques lignes extraites du site digupelvis.
Zach Condon, alias Beirut, est train de
dépoussiérer la worldmusic à lui tout seul. Au passage, il remet le
ukulélé au goût du jour. Ses deux albums, « Gulag
Orkestar » puis « The Flying Club Cup », sorti récemment, sont une
déclaration d’amour à une vieille Europe imaginaire et au quartier
berlinois de Prenzlauer Berg.
Je vous ai aussi concocté une petite playlist :